Viatic
L’idée a émergé de l’esprit de Patrick BAILLOT, à l’issue de ses 14 ans en tant que Maire dans une commune de notre département. Dès le départ, Patrick a une idée précise des solutions qu’il veut créer pour ses pairs et envisage de leur apporter dans toute la France grâce à un outil numérique. C’est ainsi qu’est né : VIATIC, la fabrique de solutions numériques pour les communes de France.
Un projet local, un usage participatif, une incitation à la transparence de la gouvernance communale et définitivement d’utilité publique : on adore !
Le challenge
VIATIC dispose de plusieurs espaces : la formation en ligne, le pilotage de communes, l’échanges entre maires, etc… La formation en ligne est à destination d’une cible de plusieurs dizaines de milliers d’élus de profils plus ou moins éloignées de l’usage numérique.
Le pilotage via un outil numérique nécessite une logique et une organisation déjà bien instaurées. De plus, il recoupe une multitudes de sujets : une vingtaine de domaines, regroupant des centaines de thématiques et des milliers de projets à mener !
Le tout doit être accessible 100% du temps, via des applications mobiles pour la majorité des fonctionnalités et d’une simplicité à toute épreuve. Demain toutes les communes de France ne sauront plus comment se passer de VIATIC !
Nos solutions
Intégralement sur-mesure ou en “Best of Breed” ?
La première question qui s’impose lorsque l’on parle d’une plateforme avec des dizaines de fonctionnalités différentes (vidéo en ligne, système de notation, chat, agenda, partage de documents, todo-list, gestion de projet, diagnostic, bibliothèques de ressources, forum, etc…) : n’existe t-il pas des outils qui font déjà tout ça très bien ?
Globalement, à chaque fonctionnalité existe des outils qui, mis bout à bout, permettrait de reproduire l’idée de VIATIC (c’est ce que l’on fait partiellement à l’agence par exemple, voir dans cet article). Cependant, dans ce cas et après des recherches approfondies, la somme des outils ne permet pas d’établir un business model pérenne, ne permet pas le niveau de personnalisation attendu et supposerait une intégration hyper complexe dans l’environnement de chaque mairie.
Aussi nous avons recommandé la création d’un premier espace sur-mesure (la VIATIC Académie) et la juxtaposition d’autres outils “temporairement suffisants” dans la stratégie court terme de VIATIC. Ainsi, au fur et à mesure des années, le socle sur-mesure central de VIATIC se voit enrichi de fonctionnalités initialement proposées sur des sous-plateformes (c’est utile pour : la clarté d’utilisation, les plannings et les budgets !).
MOOC, SPOC, LMS…
L’un des espaces majeurs de VIATIC est son Académie. Une plateforme devant permettre à tous les élus de France de se connecter pour s’informer et se renseigner sur des réglementations, des projets innovants ou des sujets d’actualités. Le format est semblable à celui que l’on peut trouver sur des MOOC (Massive Online Open Courses ; OpenClassrooms est un exemple).
Comme à notre habitude c’est un juste milieu qui a été choisi : nous avons créé un MOOC sur-mesure intégré dans l’environnement VIATIC. Tout n’a pas été réinventé, les médias sont hébergés sur Vimeo par exemple. Le LMS sera intégré à terme, mais repose initialement sur une solution Chamilo géré par l’équipe VIATIC.
Un véritable outil de gestion de projet
La seconde fonctionnalité majeure de VIATIC est son outil de “Pilotage de communes”. Le principe est assez simple : un outil de gestion en ligne (comme JIRA, Asana, Basecamp, MS Project, ou des milliers d’autres) orienté exclusivement à destination des élu et de leurs communes.
Toute la complexité repose essentiellement sur : la création d’une UX/UI permettant la gestion d’un volume colossale d’informations, un système de niveaux de droits avancé et des fonctionnalités innovantes associées au Smart City.
Sous le capot : efficace et performant
La couche dev repose sur une stack classique : PHP/Laravel + MariaDB + Redis + HTML5/CSS3 + ES7 (ainsi que quelques autres frameworks JS front-end pour la synchronisation temps réel de certains écrans de gestion).
L’infrastructure se scale en fonction de l’augmentation progressive d’utilisateurs, jusqu’à plusieurs dizaines de milliers quotidiennement.
Un modèle d’architecture basé sur des APIs permet la connexion d’applications mobiles bien que l’application web soit déjà responsive.